• Osez... dresser votre mari

    Titre : Osez... Dresser votre mari
    Auteure : Octavie Delvaux
    Editeur : La Musardine
    Nombre de page : 125 pages
    Prix : 8.10€
     
     Mon avis

     
    RESERVE A UN PUBLIC AVERTI

    Copain bon à rien, amant barbant, homme fainéant, mauvais coup... En dépit d'efforts indéniables les hommes restent allergiques aux tâches ménagères et seulement 60 % des Françaises seraient satisfaites de leurs performances au lit. Il était temps qu'Octavie Delvaux dégaine sa tenue de dominatrice pour enseigner aux femmes l'art du dressage de mari. Leçons de charme, rappels sexo et anatomiques, jeux érotiques, et bien sûr excentricités SM, dans un but : savoir communiquer, ordonner ou même punir, et ce, en gagnant en sexappeal. Et si c'était en se montrant intransigeante qu'une femme pouvait rendre un homme fou de plaisir et devenir véritablement actrice du plaisir mutuel ?
     

    Mon avis

     
    J'ai lu ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique du site Babelio que je remercie chaleureusement.

    Ayant lu il y a peu « Osez... 20 nouvelles érotiques de Noël » c'est avec grand plaisir que je me suis plonger dans « Osez... dresser votre mari ». Avouons le, le titre est vraiment ce qui m'a  incité à m'inscrire pour ce partenariat. C'est d'ailleurs ce même-titre qui m'a valu, depuis la réception du livre des petites remarques de mon compagnon me faisant sourire.
    De plus, étant donné que j'ai tendance à laisser traîner mes livres (bon, il était poser sur le dessus de ma PAL des dernières réceptions livresques dans le salon), j'ai eu l'occasion de voir la plupart de mes invités loucher dessus, certains me demandant s'ils pouvaient le feuilleter et c'est avec un plaisir non dissimuler que je leur mettais le livre entre les mains.

    Octavie Delvaux nous guide à travers ces 125 pages et ces 5 parties dans le dressage de mari. Je trouve qu'elle a fait un travail vraiment formidable, elle s'est renseigner auprès de professionnelle dans le SM / BDSM (et j'en passe beaucoup) et à reçu des témoignages, de même qu'elle s'est informer sur le sujet et nous montre avec grand plaisir ses sources.
    Nous avons ici un guide complet, remplie d'humour ce qui est très agréable et le tout sur un ton de conseil et d'amusement.

    Bref, j'ai adorée lire ce petit livre, de même que visiter les sites internet des boutiques dont l'auteure parle (un gros point positif car ceci permet de voir les objets, vêtements en même temps que la lecture). Et je n'oublie pas les illustrations « rigolote » et très bien faite semer un peu partout dans le livre et correspondant à la thématique du moment, chose qui permet de faire soufflet le lecteur et d'apprécier encore plus le livre.

    J'ai eu le sourire durant toute ma lecture et n'ai pu m'empêcher de lire des extraits à mon compagnon qui a semblé très intriguer.

    Un grand bravo à l'auteur pour cet ouvrage !

     

    Osez... dresser votre mari

    Osez... dresser votre mari

     

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  • Loin de tout

    Titre : Loin de tout
    Auteure : J.A. Redmerski
    Editeur : Milady
    Nombre de page : 448 pages
    Prix : 15.20€
     
     
     
     
     
     
     Synopsis 
     


    Après avoir perdu son premier amour dans un accident, Camryn, 20 ans, plaque tout pour partir à l'aventure. C'est alors qu'elle rencontre Andrew, qui n'a pas été épargné par la vie lui non plus. Camryn a beau s'être juré de ne plus jamais tomber amoureuse, l'amour se révèle à elle sous de multiples facettes au cours de ce voyage. Un road trip improvisé qui marque le début d'une nouvelle existence exaltante. Mais l'insaisissable Andrew cache un secret qui peut les lier à jamais ou les détruire pour toujours...
     
     
    Mon avis
     

    J'ai lu ce livre dans le cadre d'une lecture commune avec Faustine et Mélina, deux supers blogueuse avec qui j'ai discuter tout au long de la lecture.
    Avant de vous dire mon avis, je souhaitais dire que j'aimais beaucoup ce système de lecture commune, pouvoir parler avec les gens pendant que tu lis c'est vraiment génial ! Et ça permet d'être moins frustrer.
     
    Je passe à ma chronique du livre !
     
    Camryn est une toute jeune femme qui a perdu le goût de la vie en même temps qu'elle a perdu celui qu'elle aimait. Après une dispute avec sa meilleure amie, elle prend la décision de plier bagage pour quelques temps sans véritable destination.
    Elle décide de faire son voyage en bus, pendant le trajet, elle se lit d'amitié avec Andrew, un jeune homme un peu plus vieux qu'elle. Ils décident ensemble de continuer leur voyage en voiture après la destination final du bus. 
    Petit à petit une histoire entre eux deux né. L'amour se mêle et tout ne se passe pas comme Camryn l'avait prévue.
     
    J'ai beaucoup aimé ce livre, je l'ai trouvé touchant, l'auteure sait nous donner envie. Même si la plupart des scènes sont prévisible, j'ai trouver que cette lecture était fraîche et toute belle. J'ai ris, j'ai pleuré, j'ai espéré, je me suis révolté. Bon j'avoue que le passage de la Camryn prude à la dévergonder m'a un peu surprise, mais au final, je me suis reconnue chez elle.
     
    Je pense qu'on peut s'identifié très facilement aux personnages autant Cam, qu'Andrey ou Nathalie. J'ai aussi découvert grâce à cette lecture des chansons que je ne connaissais pas du tout et qui me plaise beaucoup (et donc qui passe en boucle dans ma voiture depuis)
     
    J'espère voir plusieurs d'entre-vous lire et apprécier ce livre autant que je l'ai apprécier.
     

    Loin de tout

     

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  • Osez... 20 nouvelles histoires érotique de Noël

     

    Titre : Osez... 20 nouvelles histoires érotiques de Noël
    Auteurs : Divers
    Editeur : La musardine
    Nombre de pages : 256 pages 

     
    Synopsis

     
    Pour ce volume 2, nos auteurs ne se sont pas faits prier pour ressortir du placard leur costume de Père Noël dévergondé, bien résolus à détourner une nouvelle fois les codes de Noël pour en faire une joyeuse orgie : crèche vivante qui dégénère, plan à trois dans une cabine d'essayage en plein shopping de Noël, recrutement pas très orthodoxe de Père Noël intérimaire, réveillon qui tourne à la partouze générale...
     

    Mon avis

     
    J'ai lu ce livre dans le cadre d'un partenariat avec le forum « Have a Break, Have a Book » et les éditions La Musardine, que je remercie tout deux.

    L'érotisme est un thème difficile et fragile à aborder. Ici, nous avons un recueil de 20 nouvelles, ni trop longue, ni trop court pour peu qu'elles nous plaisent, en cas contraire, chaque ligne est un supplice.
    Je vous avoue que certaines d'entre elles m'ont jeté un froid et j'espère que le « mauvais goût » ne sera pas une future mode pour l'érotisme comme la domination. Voyez-vous étant frileuse de nature, je ne m'attendais pas à être si refroidie que j'en avais de la neige dans mon salon.
    Je ne pense pas être quelqu'un de coincé, ni de sainte-nitouche mais j'ai quand même des principaux et une morale (très présente) et même un Jiminy Cricket dans la tête (ma chère conscience). Quand je disais plus haut que certaines nouvelles m'avaient jeté un froid, je m'explique. Un récit érotique, pour moi, devrait normalement faire grimper la température, nous rendre bouillant nous causant une éruption volcanique interne et pas nous offrir un aller simple pour le cercle polaire sans même un manteau.
    Je pense surtout à « Petit conte d'hiver » de Pierre des Esseintes avec en thème l'urophilie, qui n'est vraiment pas ma tasse de thé – sans vouloir faire de mauvais jeu de mots – et l'inceste. Sur ce dernier point, je ne peux m'empêcher de comparer avec un précédent partenariat du forum : « Gina, récit lesbien » où il était aussi question d'inceste entre deux sœurs. La différence ? Le style de l'auteur, le premier est plutôt hard alors que le second est rempli de tendresse, de sensualité et d'amour.
    Cependant, celle qui tient la palme et qui a failli me faire arrêter ma lecture est « Le Marginal » de Stéphane Rose. J'avais l'impression d'être devant un très mauvais porno amateur classé hard. Et encore en disant « porno amateur » je suis gentille car tout cela se rapprochait plus d'une scène ratée d'un film d'horreur. À côté de ça, « Zone d'expérimentation sexuelle » (un autre partenariat du forum) où l'héroïne couche avec des extraterrestres est dix fois, que dis-je ? Mille fois plus réaliste que ça ! Ici, un marginal se rend à une fête de noël dans sa famille, il drogue tout le monde pour que ça finisse en partouze pédophile, incestueuse et limite (?) zoophile. Notre marginal pense qu'il lui reste une once de moral car il n'a pas drogué les enfants (manquerait plus que ça d'ailleurs). De plus, il y a le style de l'auteur qui, disons-le franchement, est une abomination. Un vocabulaire qui n'est pas recherché (même moi pour mes chroniques je fais plus d'efforts ! ). Beaucoup trop de vulgarité, et quand plus ci-dessus, je comparais à un mauvais porno amateur, cette obscénité en est le premier exemple avec des « tu mouilles, salope » ou « tu m'avais caché ça, petite pute » et j'en passe (le contexte étant que le protagoniste le dit à sa tante -qu'il tripote- après l'avoir drogué)
    Tout au long de la lecture de cette nouvelle j'ai cru à une mauvaise blague.

    Bon il y a quand même quelques points positifs. Noël représente pour voir un moment de joie, de retrouvailles et bien sur n'oublions pas la petite touche américaine comme dans les films (et si romantique) : un décor neigeux.
    Osez...20 nouvelles érotiques de noël nous laissent sur cette base festive voilée de sensualité. Avec un titre comme celui-ci, il fallait s'attendre à tout, c'est comme les mariages : pour le meilleur et pour le pire. Mais avec le thème de noël, le lecteur s'attend à rêver, à s'envoler (et pourquoi pas sur le traîneau du Père-Noël?). Certaines nouvelles auraient pu être un peu plus approfondie, car même si elles sont sympas, il leur manque ce petit quelque chose qui les aurait rendu merveilleuse. Je pense notamment à « Recrutement » de Clarisse Rivière qui m'a beaucoup fait sourire, dans un premier temps par la frustration de notre charmante personnage principal et de part ça dominance envers les hommes qui ne savent pas trop dans quoi ils s'embarquent. Mais « Les épices de noël » d'Ines Autren sort aussi du lot, car suivre un inconnu dans les ruelles sombres n'est pas des plus futés certes, mais assure l'excitation et le mystère.
    On peut voir les efforts que certains auteurs fournissent pour mettre en scène des petits moments anodins et qui derrière le rideau sont comme un cadeau emballé avec un joli ruban. Il y a « Nuit divine » d'Alexandra Otéro, on ne connaît dans un premier temps les noms des personnages, on pourrait penser à un couple banal, et puis quel homme n'a pas un jour fantasmé de faire l'amour à une femme enceinte ?
    « J-2 » de Cassandra Maraval n'est pas mal non plus, des sms aguicheurs d'un inconnu lorsqu'on arrive à la caisse du supermarché pour une proposition que d'autres qualifieraient d'indécentes.

    En conclusion, quelques nouvelles qui méritent d'être lu. Cependant, celles qui nous offrent les visites des calottes glaciaires.... sans le Père-Noël ont été une véritable déception.

    Osez... 20 nouvelles histoires érotique de Noël

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  • Le goût du désamour

     

    Titre : Le goût du désamour
    Auteure : Delphine Solère
    Editeur : La Musardine
    Nombre de pages : 240 pages
     
     
    Synopsis

     
     
    Comment la seule vision d'une paire de fesses bien fermes d'un joueur de beach-volley peut transformer le sinistre destin d'une femme en hymne à la lubricité... C'est sans une once de compassion que Delphine, 30 ans, regarde son mari – riche, vieux et célèbre – se noyer dans leur piscine au moment même où elle s'apprêtait à le quitter.
    Car cette épouse modèle, mais totalement insatisfaite, venait juste de prendre conscience de l'inanité de son vécu de bourgeoise rangée. Bien décidée à rattraper le temps perdu, la veuve joyeuse va alors multiplier les expériences et les initiations.
    Faisant fi de toutes les conventions de son milieu, elle se livre sans complexes à des débauches grand format : amours débridées avec un tout jeune homme, pratique du libertinage à outrance, saphisme dévergondé, exhibitionnisme outrancier... À cela s'ajoutent de mystérieux poèmes érotiques envoyés par un inconnu et une enquête policière autour du décès de son mari, pas si clair que cela aux yeux de la police. Tous les ingrédients sont réunis pour offrir une histoire riche en rebondissements qui explore toutes les facettes de l'émancipation féminine. Originaire du Nord de la France et toulousaine d'adoption, Delphine Solère, qui exerce le métier d'éducatrice, écrit avec Le Goût du désamour un premier roman dans un style hyperréaliste, mêlant avec beaucoup de sincérité l'érotisme le plus audacieux à la réflexion sur la vie d'une femme moderne, prise dans ses contradictions et écartelée entre ses désirs et son histoire.

    Mon avis


    Je souhaite remercier le forum « Have a break, Have a book » et les éditions La Musardine pour ce partenariat.

    Le goût du désamour, c'est l'histoire de Delphine, la trentaine, un jour elle se rend compte que sa vie pourrait être tout autre. Au moment où elle décide de l'annoncer à son mari, celui-ci décède d'une crise cardiaque. Au lieu de lui porter secours, elle le voit mourir et monte un alibi avant de commencer sa nouvelle vie. Elle redécouvre alors les plaisirs de la vie et surtout du sexe.

    L'enquête policière autour de la mort du mari de Delphine ne m'a pas convaincue. Arriver à monter tout un plain pour ne pas être impliqué dans la mort de ce dernier tout en restant calme ? Pour moi, c'est improbable. De plus, il s'agit d'une crise cardiaque, c'est pas comme si elle avait mis une substance chimique dans son bol de chocapic qui aurait causé cet infarctus ! Malgré cela et le fait que l'enquête s'arrête d'un coup, je me suis laissé aller par le reste de l'histoire.
    Une quête vers un retour à la liberté et la découverte de soi et du plaisir. Durant tout le récit, je n'ai pu qu'apprécier la plume de l'auteure. On peut remarquer les efforts que l'auteure a fourni pour ne pas tomber dans les clichés qui auraient pu plomber ce roman.
    Bien sur, ce ne serait qu'une simple romance s'il n'y avait pas les scènes de sexe. Contrairement à d'autres récits érotiques où un simple regard suffit à se faire des films (imaginer qu'un regard puisse dire que l'autre va nous faire sauvagement l'amour dans l'ascenseur, par exemple, est un peu gros) et je pense ne pas être la seule, donc, à avoir comparé avec la série best-seller Fifty Shade.
    Cependant, je pose un petit bémol, je ne suis pas vraiment fan d'urophilie, et je pense que pas mal de lecteur ont dû être dans ce cas (quoi que?) et j'ai donc été très troublé. Je me demande si ce genre de pratique est une mode dernièrement (elle est très reprise par les auteurs érotiques) comme la domination il y a peu.
    Malgré tous, les autres scènes passent avec succès, crues mais sans vulgarité choquante et un sentiment d'excitation très agréable qui monte petit à petit.

    Le goût du désamour est une lecture agréable, que je pense relire un jour ou l'autre mais qui ne m'aura pas marqué comme d'autre récit, que ce soit en bien ou en mal.

     

    Le goût du désamour

     

    Autres avis :

    Le goût du désamour 

    Le goût du désamour

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  • L.E.A

    Titre : L.E.A
    Auteure : Sandrine Bataille
    Editeur : Mon petit Editeur
    Nombre de page : 410 pages
    Ebook

     
    Mon avis

     
    4025, Nouvelle Terre.
    Afin de préserver un monde utopique, chaque continent ignore l'existence des autres grâce à des frontières magiques. Les hommes n'ont que des pensées positives grâce à l'existence des rêveurs. Jusqu'au jour où une faille apparaît qui permet aux Ténèbres de refaire surface.
    Sur le Continent Dasure, les rêveurs et les hommes d'église disparaissent, laissant aux hommes un avenir morose et uniquement axé sur le travail...
    C'est dans cette ambiance que naît L.E.A.
    Manifestement, c'est une rêveuse.
    Va-t-elle disparaître à l'apparition de ses pouvoirs, au moment de la puberté, comme tous les autres? Sera-t-elle celle qui sauvera le monde des Ténèbres?
     

    Mon avis

     
    Je souhaite remercier le forum « Have a break, Have a book » et l'auteure Sandrine Bataille pour ce partenariat.

    Durant cette lecture, j'ai eu quelques difficultés. En premier, malgré un résumé qui me tentait vraiment beaucoup, j'ai trouvé que l'histoire se développait trop lentement, et pourtant, lorsque je regardais le nombre de pages, celles-ci défilaient à très grande vitesse, cependant je n'avais pas impression d'avancer dans ma lecture.
    Le style d'écriture m'a aussi posé problème. Je ne parle pas ici « d'erreur » ou de « fautes » mais plutôt des expressions par ci, par là que je ne trouvais pas « correctes » pour un roman. J'avais plus l'impression qu'il s'agissait d'une histoire racontée, car le langage était celui de l'oral, comme si l'auteure avait écrit de la même façon que l'on parle. J'ai trouvé aussi quelques inversions de mots comme « le bizarre comportement », au lieu « du comportement bizarre » qui sonne mieux.

    Par rapport aux personnages, je n'ai pas réussi à m'y attacher, leur personnalité était plutôt transparente, banale, on savait d'avance leurs réactions, ou ce qu'ils allaient dire, comme un film que l'on connaît par cœur et dont on n'a plus besoin de la bande-son.Je pense que les caractères auraient peut-être pu être plus travaillé, mis plus en avant.
    De même que l'histoire en elle-même, certes elle se lit vite, mais ce n'est pas un récit que je retiens, chaque fois que je reprenais ma liseuse, je devais faire un effort pour me souvenir de l'histoire, de ce que j'avais lu jusqu'à ce moment. Bref, ce n'est pas un livre dont j'aurais un bon souvenir, ni un mauvais, l'histoire restera classée dans « j'ai lu » mais ne m'aura pas marqué plus que ça.
    Malgré tout, on ressent que l'auteure y a mis beaucoup d'elle-même, peut-être pas assez, ou bien trop peu approfondie.

    Sur cette fin, je ne suis donc ni déçu, ni satisfaite, mais je reste néanmoins curieuse de voir l'évolution de l'auteure dans d'autres œuvres, ou même sur celle-ci.

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