Titre : Rockin’ Heaven
Auteur : Mayu Sakaï
Editeur : Panini Manga
Nombre de tome : 8 tomes

Résumé :

Véritable fleur bleue, Sawa a le cœur qui palpite à la veille de sa rentrée au lycée, elle s’imagine une nouvelle vie pleine de folie et de bonheur. Grande est la déception lorsqu’elle se retrouve dans une classe de garçons (le lycée n’a ouvert ses portes à la gente féminine que depuis cette année) impolis, rebelles, peu sympathiques. L’un d’entre eux s’illustre d’ailleurs comme le crétin suprême. Mais Sawa est une optimiste invétérée et elle reste persuadée que ses années lycée vont lui apporter ce dont elle a toujours rêvé !

Mon avis :

 Avant d’écrire ma chronique, comme je ne savais vraiment pas par où commencer, j’ai été lire quelques chroniques d’autres personnes et évidemment, j’ai opté pour ceux qui contrairement à moi n’avait pas ou peu aimé et j’avoue que parfois, je ne comprenais pas les arguments avancer mais après tout : j’ai aimé, donc obligatoirement je n’étais pas d’accord avec ces personnes.

Sawa est une jeune fille qui entre au lycée, et son choix c’est porter sur le seul qui était jusqu’à présent un établissement uniquement pour garçons. C’est donc, sans grand étonnement (pour nous, mais pour elle c’est autre chose) que nous voyons ces jeunes hommes faire la loi, de plus, Sawa ne tombe pas dans n’importe quelle classe : elle est dans la pire, celle de Ran, le fils du directeur et de sa bande d’ami qui font ce qu’ils veulent. Mais notre chère Sawa n’est pas prête à se laisser gâcher l’année et elle compte bien en profité à fond.

Cette série comporte 8 tomes, ce qui fait qu’elle est petite sans être trop courte non plus. Evidemment, comme il s’agit d’un shôjo on aura à faire à une histoire d’amour, si vous pensez que se sera donc une histoire super banale, vous vous tromper, on se retrouve aussi devant des thématiques qui nous ont tous touché un jour : qu’est-ce que je vais faire plus tard ? Les erreurs qu’on a commis, ce qui nous y a pousser, ce qu’on cache au fond de nous, les doutes, la peur, mais aussi la joie de l’amitié.
Côté illustration, les dessins sont vraiment magnifiques : beaucoup pourrait critiquer les grands yeux des personnages, mais c’est ce qui fait aussi leur charme.

Une petite histoire à lire tranquillement et qui fait passer un bon moment.