• Titre : Premiers émois d’une étudiante
    Auteur : Lily Dufresne
    Editeur : Edition Dominique Leroy
    Nombre de page : 42 pages

    Résumé :

     

    Premiers Emois d’une étudiante est le récit tendre et sensuel d’une jeune fille qui découvre ses désirs tout autant que sa personnalité.

    Gabrielle a dix-huit ans. Elle est étudiante en première année. Emotive et rêveuse, elle imagine que le beau Nathan va l’aborder et que ce sera le début d’une histoire d’amour. Gabrielle l’apprend cependant à ses dépens : la vie d’adulte dans laquelle elle entre subitement ne ressemble pas aux contes de fées. Du moins, pas à celui auquel elle s’attendait…

    Lily Dufresne ressemble quelques peu, nous confie-t-elle, par son caractère rêveur, à la jeune fille de cette histoire…

     

    Mon avis :

    Je remercie les éditions Dominique Leroy et le forum Break a Book pour ce partenariat.

    A travers cette nouvelle, l’auteur Lily Dufresne nous présente la vie estudiantine d’une jeune femme : Gabrielle. Nous découvrons très vite qu’un garçon de sa promo (Nathan) l’attire jusqu’à la faire fantasmer. Cependant, ses rêveries érotiques ne sont pas le reflet de la réalité, et lorsque Nathan décide de l’invité à boire un café, rien ne se passe comme elle l’avait imaginé et cela tourne au cauchemar.

    J’ai trouvé que cette nouvelle aurait été mieux présenté comme une romance (enfin de mon point de vue), quoi qu’en y repensant, il est vrai que l’érotisme est présent. On y retrouve une jeune femme découvrant la vie d’adulte avec ses avantages et ses inconvénients. Elle y a des déceptions et des réconforts et on ne peut que vouloir la soutenir, l’encourager, et casser la figure de celui qui la déçoit.

    Pour les personnages, contrairement à d’autres nouvelles, j’ai pu m’intéresser à eux. Gabrielle m’a énormément touché, cette jeune femme aurait très bien pu être une de mes amies, ou moi-même, alors s’identifier à elle a été très simple, elle avoue elle-même qu’elle est à la fois attiré par les femmes et pas les hommes, mais ce qui fait son déclic des fantasmes et qui donne une touche de sensualité au récit est son rapport avec les nuques.

    Nathan quand à lui, je n’ai pas vraiment de mot adéquate pour parler de lui car je ne pense qu’à le traiter de tous les noms d’oiseaux possible et imaginable. Il ose traiter Gabrielle d’allumeuse alors que tout ce qui s’est échanger entre eux était des regards, et encore pas des regards aguicheur, juste en coin, pour observer, admirer.

    Et enfin Blandine, qui est douce et aimante, elle a l’air tellement formidable ! On n’en apprend pas tellement sur elle mise à part qu’elle est très travailleuse et qu’elle aime énormément Gabrielle. Sa façon d’avoir pris soin d’elle, comme d’une enfant après avoir fait un cauchemar était adorable. Par contre, j’avoue que la fin m’a un peu surprise, j’ai trouvé qu’elle et Gabrielle allait peut être un peu vite en besogne, mais ce n’est que mon avis.

                Lors des quelques scènes érotiques, je n’ai pas été plus que ça émoustillé, c’est entre autre pour cela, que j’aurais plus apprécié cette nouvelle en tant que romance. Mais j’avoue que je me reconnais beaucoup en Gabrielle : son insouciance, ses fantasmes idéalisant un homme, une situation. Au final, c’est une jeune femme qui se recherche et qui et qui apprend connaître son corps, ses désirs et ses envies.

    En bref, je pense que l’auteur a un très grand potentielle et j’aimerais réellement lire d’autres écrits d’elle. Encore une fois, je remercie les éditeurs et le forum pour ce partenariat qui m’a fait découvrir une histoire vraiment belle.

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  • Plus charnelle sera l'étreinte

    Titre : Plus charnelle sera l’étreinte
    Auteur : Fêteur de trouble
    Editeur : Edition Dominique Leroy
    Nombre de page : 42 pages

    Résumé :

    Que se passe-t-il lorsqu'un élan charnel fait chavirer le moment présent ? Qu'arrive-t-il si l'immédiate attraction des corps prend le pas sur le raisonnable ? Quelles conséquences lorsque l'on refuse d'obéir à la sage, mais fade bienséance ?

    Plus charnelle sera l'étreinte est un recueil de trois récits sensuels, au plus près de la suave intimité des corps :
    — La Confusion des genres
    Au matin, trois corps enlacés, circonstances propices à la confusion… du lecteur ?
    « Savourant chaque frôlement, je les sentais s’éveiller, s’étirer. Puis je perçus une main bouger à peine, errer d’une peau à l’autre, la mienne parfois. »

    — Un, deux, trois... Sommeil
    La jouissance, le silence et, entre les deux, une endormie...

    — Attendez une seconde ! (et peut-être que...)
    Dans une bibliothèque, à l'heure de la fermeture, deux inconnus se croisent, s’entrecroisent, malgré le temps qui se dérobe.
    « Nous sommes là, seuls, chacun à guetter ce que l’autre fera, et voudra. Je suis près de lui, un peu trop. Il est prêt aussi, mais à quoi ? Je me débats avec des questions dont nos corps pourraient n’avoir que faire. Plutôt que de s’éloigner, ils se rapprochent encore un peu. Peut être ont-ils déjà commencé à vivre par-delà nos hésitations. »

    Des textes comme des instantanés, des instants saisis à la volée...

    Fêteur de trouble a souvent préféré l’image, plus que la lecture, pour s’abreuver des créations des autres. C’est pourtant les mots qu'il choisit, quand petit à petit a germé chez lui l’envie de partager à son tour... Plus charnelle sera l'étreinte est sa première publication.

    Mon avis :

    Tout d’abord, je tiens  m’excuser auprès des éditions Dominique Leroy et le forum Break a Book pour mon retard. Ayant eu quelques soucis de santé ces dernières semaines, je n’ai pu rendre avant mes chroniques. J’espère que ce retard me sera pardonné par les éditeurs et par mes amies et gérantes des partenariats du forum.

    Dans ce recueil, nous avons trois nouvelle de proposer et elles se lisent toutes rapidement et agréablement, ce qui est un gros point positif. La première d’entre elles se nomme « La confusion des genres ». Cette nouvelle déborde de sensualité et de désire, de plus, son titre lui va à ravir. En effet, dans la majeure partie du récit, nous ne savons pas si le narrateur est un homme ou une femme. Cependant, plus nous avançons dans le texte et plus la certitude qu’il s’agit d’une femme s’intensifie. L’auteur a su faire de ce texte une scène érotique très imaginative avec un minimum de description physique. On peut alors imaginé qu’il s’agit d’un moment avec notre amoureux et un troisième inconnu ou bien se laisser guider par le fantasme comme un théâtre d’ombres chinoises. Très vite, nous sommes attisés par le désir, par les caresses et même si nous en voudrions plus, l’auteur sait où s’arrêter sans nous frustrer, ce qui est réellement magnifique.

    Nous poursuivons ensuite avec « Attendez une seconde (et peut-être que…) » ou nous changeons de décors. De l’intimité de la chambre à coucher nous passons à la bibliothèque à l’heure de la fermeture. Je dois avouer que l’auteur a su attiser la flamme en moi qui commençait à peine à se calmer de l’histoire précédente.

    Ici, Fêteur de trouble joue sur les secondes qui passent et la tension qui s’intensifie entre nos deux personnages. On arrive donc très facilement à se mettre à la place de la femme et à saisir l’excitation du moment. La fin est plutôt inattendue et nous laisse imaginer une suite à notre guise.

    Enfin, nous arrivons à la dernière nouvelle, celle que j’ai le moins apprécier : « Un, deux, trois, sommeil ». J’ai trouvé qu’elle était un peu plus en longueur et moins sensuel. Malgré le fait qu’il y ait une tension à l’idée que notre couple se fasse découvrir en pleine ébat par la femme qui dort sur le lit à côté, je n’ai pas tellement été subjugué. J’arrivais à deviner comment ça allait se terminer malgré un mince espoir que la femme endormi pimente un peu le tout.

    En bref, ce petit recueil a su attiser en moi la flamme du désir et l’entretenir jusqu’au point final. Chacun des livres que j’ai pu lire chez les éditions Dominique Leroy m’a plus et je compte bien continuer mon aventure érotique chez eux. D’ailleurs, je ne pense pas avoir été déçu par un livre publié chez eux, ce qui est un réel enchantement.

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  • Kobato

    Titre : Kobato
    Auteur : Clamp
    Editeur : Kana
    Prix : 7.05€

    Nombre de page :

    Tome 1 : 164 pages Tome 2 : 164 pages Tome 3 : 162 pages

    Tome 4 : 160 pages Tome 5 : 164 pages Tome 6 : 180 pages

     

    Résumé :

    La jeune Kobato explore le monde des humains avec son chien Ioryogi – une espèce de peluche parlante capable de cracher un puissant rayon laser.
    D’où viennent-ils ? Que viennent-ils faire ici ? Mystère. Seule certitude : Kobato doit se procurer une étrange bouteille qu’elle devra remplir de « sentiments blessés » afin de pouvoir partir « vers l’endroit où elle veut aller ». Pour gagner cette bouteille, Kobato devra prouver à Iorogy sa capacité d’adaptation au monde des humains. Cela promet d’être difficile vu l’insouciance et la naïveté dont fait preuve la jeune fille…

    Mon avis :

    Voilà une nouvelle série de terminé. Kobato n’est pas forcément ma préféré des Clamp mais elle reste une petite série très mignonne et très agréable à lire.

    Kobato Hanato est une jeune fille très gentille et naïve, qui pour pouvoir réaliser son « vœu » recceuil dans une mystérieuse bouteille magique les sentiments blessé des gens. Cependant, elle ne sait pas comment s’y prendre et se retrouve à faire les choses de manière très maladroite, ce qui n’est pas sans nous laisser de marbre, bien au contraire, ses gaffes nous ravissent même !

    Elle va faire la connaissance de Mme Sayaka, directrice d’une crèche en déficit et va vouloir l’aidé. Dans cette même crèche travail Fujikawa, un jeune homme sérieux et un peu ronchon sur les bords qui ne va pas laisser notre jeune héroïne de marbre. Cependant, plus les tomes passent et plus le vœu de Kobato risque de changer et elle va devoir trouver ce qu’elle souhaite réellement.

    Aider par Iogori, une peluche bleu au caractère plutôt impulsif et intransigeant chargé de veiller sur notre jeune demoiselle, la vie ne sera pas toujours rose. Kobato va devoir faire face aux difficultés de la vie des humains et aux sentiments cachés. 

    J’ai passé un excellent moment sur cette petite histoire. Il y a juste quelques détails qui m’ont un peu laissé perplexe. Tout d’abord, dans le tome 1, les premiers chapitres sont entrecoupé, on passe d’une scène de notation à une autre et il peut y avoir plusieurs mois d’écart (kobato doit prouver qu’elle peut vivre dans le monde des humains en connaissant leurs habitudes) le tout sans savoir ce qu’il se passe entre. D’ailleurs, on ne sait pas qui est vraiment Kobato, ni d’où elle vient, et son vœu reste très vague : « il y a un endroit où elle veut aller ».

    Sinon, le second petit détail concerne Iorogi et ses acolytes. Chacun a été puni pour avoir déclaré la guerre au monde des cieux. La punition n’est pas barbare : ils ont tous changé d’apparence et auront une mission précise jusqu’à ce que la punition soit levée. L’apparence qu’ils ont à présent est des plus mignonne : une peluche bleu, un ours qui doit faire des pâtisseries, un oiseau messager et j’en passe. J’ai trouvé que nous n’en avions pas assez appris sur tous ce petit monde (le monde des cieux, des enfers et l’autre monde) et je pense que c’est quelque chose qui aurait pu être approfondie.

    Malgré tout, l’univers des Clamp continue de m’enchanté et je suis bien contente de les avoir connu. En bref, Kobato est un manga adorable qui se lit très rapidement et qui nous fait passer un très bon moment. Je lui ai donné une excellente note sur Livraddict car je ne regrette vraiment de l’avoir acheté !

    Kobato

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  • Blabla

     

    Salut les amis !

     

    Voilà, je vous poste ce petit article pour vous donnez de mes nouvelles. Comme vous l'aurez remarquer, depuis un peu plus d'une quinzaine de jour, j'ai beaucoup de mal à passer sur les blogs et à respecter mes délai. Malheureusement, ma santé étant la raison de ceci, je tenais à m'excuser pour mon absence et mes retards. Sachez que je pense très fort à vous tous ! J'essaye de lire un maximum, mais le plus dur est la rédaction de mes chroniques (a bout de quelques lignes j'ai des douleurs dans les mains). La fatigue étant très présente, j'essaye de dormir énormément, du coup je passe plus de temps à regarder des dvds (ou plutôt à faire le légume devant des dvd) qu'autre chose !

    BREF, tout ça pour vous dire que je n'oublie personne ! J'essaierai d'envoyé mes chroniques prioritaires aux éditeurs dès que possible. Je pense surtout aux éditions Artalys avec lesquels j'ai des partenariats très régulier et les éditions Dominique Le Roy pour qui j'ai un gros retard, de même que pour le forum "Have a break, Have book" ou je fais parti des Directrices. Sachez que j'essaye d'être présente sur la toile et que je fais tout pour rattraper mon énorme retard.

     

    Gros bisous à tout le monde ! Et à très vite !

     

     

     

     

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  • Monochrome Animals

     

    Titre : Monochrome Animals
    Auteur : Ryoko Fukuyama
    Editeur : Glénat
    Prix : 6,90€

    Nombre de pages :

    tome 1 : 200 pages tome 2 :192 pages tome 3 : 191 pages tome 4 : 191 pages tome 5 : 188 pages
    tome 6 : 190 pages

    tome 7 : 189 pages tome 8 : 190 pages tome 9 : 191 pages tome 10 : 190 pages tome 11 : 189 pages tome 12 : 191 pages

    Résumé :

    La jeune Kureha vient juste d’intégrer la prestigieuse Kedamono High School. Néanmoins, il y a quelque chose d’étrange dans cette école. En effet, elle ne tarde pas à découvrir que l’institution est en fait réservée à des êtres non-humains ! Ces animaux anthropomorphes aux origines mystérieuses semblent autant de prédateurs pour Kureha. Étant la seule humaine de l’établissement, son rôle est d’apprendre à ces élèves particuliers à vivre en paix avec les humains. Sera-t-elle capable de survivre à ce travail sans être dévorée par les étudiants ?

    Mon avis :

    A nouveau une chronique manga ! Cette fois-ci il s'agit de Monochrome Animals, une série finit en 12 tomes, a la fois courte et longue, mais je préfère dire qu'elle était de la bonne longueur.

    Nous suivons Kureha, une jeune fille qui entre dans un lycée très spécial appâté par l'annonce de leur prospectus : la première personne arrivé pour l'inscription sera exonéré de frais de scolarité. Mais il y a anguille sous roche : le lycée est celui de la royauté des bêtes sauvages et notre cher Kureha devient alors pour 3 ans le lapin blanc.

    « Le Lapin » fait partie du programme pour la sociabilisation de nos chères bêtes sauvages, cependant, un seul élève par cycle (celui qui sortant major de la promo) aura droit au « cadeau » : devenir humain.

    Chacun d'entre eux à une raison de vouloir devenir humain, et à travers Kureha nous apprenons à les connaître, les apprécier.

    Dans les personnages principaux nous avons évidemment Kureha et le trio de gardien Chocho la princesse du pays du loup, Chigaya prince du pays du tigre et Ukyo prince du pays de la panthère noir. Entre eux quatre, une amitié va se mêler amitié et amour. Plus tard, nous rencontrons Kion le frère aîné d'Ukyo et bien d'autres personnages aussi important qu'intéressant !

    J'allais d'abord classé cette série dans la catégorie « intéressante » ou bien « très sympa » mais au final c'est un coup de cœur. J'ai finis la série avec quelques larmes et je compte bien la relire !

     

    Monochrome Animals

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